Très intéressante vidéo à voir et à écouter.
Peut-être est-ce le Noir et Blanc, peut-être est-ce la date (1957) ou bien simplement une vague ressemblance, mais jusqu’à la scène dansée, j’ai volontiers imaginé Jack Kerouac (période pendant-la-route) dans le rôle du jeune premier…
…ou la musique, plus probablement, par association d’idées.
Ravi Shankar donne des intentions aux objets. {on peut vouer un culte sans mesure à M. Robert Smith-The Cure période-trilogie et, dans un même élan, aimer la musique de R. Shankar, rien n’est improbable}.
Me rappelle aussi une œuvre de 1965 que j’apprécie fortement: One and Three Chairs de J. Kosuth
Et tout cela parce que je me demandais ce qui se cachait derrière le terme de Pixilation.
Animation image par image.
Cela permet certains « effet spéciaux ».
Et il y a une dizaine d’années, en multimedia,
cela permettait aussi de simuler le rendu vidéo (trop lourd) dans certains scénarios interactifs.
(enfin, c’est comme cela, encore étudiante, que je suis passée de la photo à la vidéo,
si mes souvenirs ne mentent pas)